dimanche 16 janvier 2011

Etape 1 (suite) - Escale à La Rochelle

Me voici à la veille du départ et plusieurs semaines ont filé, silencieuses. Je fais donc un petit rattrapage pour ceux que je n'ai pas eu depuis.
Auprès de mon père, qu' il fait bon passer deux semaines à La Rochelle. Les repas de fêtes se sont succédés sans se ressembler. J'ai bossé un peu, repris contact avec quelques vieux cops de collège et de lycée. Autour de sushis, nous sommes retombés en adolescence (si toutefois nous l'avions quitté) rattrapant les épisodes, prenant des nouvelles des absents, des professeurs, riant de nos vieux - parfois honteux - souvenirs.
Marché
Nouveau mobilier urbain tout en un : poubelle, cendrier, stationnement pour vélo, distributeur de sac pour les chiens.
 Je me suis promenée dans les rues réaménagées, visité les galeries d'art. Les musées, je n'ai pas pris le temps bien que le Muséum d'histoire naturelle m'ait fait de l'oeil durant tout mon séjour. J'ai choisi de privilégier la famille et les cousins (que je n'avais pas vu depuis 7 ans), les repas autours des petites crevettes grises, bigorneaux, huîtres, poutargue et autres spécialités du coin. Bref, un bon séjour de farniente à me prélasser dans mes racines. Mais je commence à tourner un peu en rond, l'heure de départ approche : je rencontre les amis de mes parents qui ont vécu ou séjourné en Afrique et me font part de leur expérience, leur conseil et m'offrent leurs contacts qui pourront m'héberger, m'aider. D'ailleurs, je profite de ces quelques lignes pour remercier Astrid, Bernard et Héliette, Françoise, Michèle, Patrice pour les Français, Caroline, Catherine, Emmanuel, Marc Aurèle, Marie Hélène, Mireille pour les Québécois. J'espère ne pas en avoir oublier. Si c'est le cas, faites moi signe, je corrigerais! A chaque fois, j'ai le même plaisir à écouter, des fourmis plein les pieds ! J'aimerais déjà y être...
Les informations françaises annoncent une prise d'otage de deux jeunes français au Niger. Tiens, c'est pas loin du Mali ça... Je garde l'oreille aux aguets.
Mais avant le grand décollage, il y a le cochon à cuisiner. Retour à Angoulême, loin des téléphones et d'internet, dans le gras, la bidoche et les torchons! Je vous raconte tout ça dans le prochain billet, âme sensible? Abstenez-vous!

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